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[ADEME&VOUS] Le #numérique : fléau ou aubaine ?

En forte croissance, l’usage du numérique n’est pas sans conséquences sur l’environnement. La fabrication des équipements nécessite en effet de puiser dans nos ressources naturelles, tandis que son fonctionnement consomme de l’énergie et génère des émissions de gaz à effet de serre et des déchets encore relativement peu recyclés. Conscients de ces impacts, les acteurs du secteur et leurs entreprises clientes cherchent à développer des solutions moins énergivores et plus favorables à l’allongement de la durée de vie des matériels, tout en informant mieux les consommateurs. Une démarche d’autant plus nécessaire que le numérique peut s’avérer être un outil facilitant la transition écologique. Retrouvez ce mois-ci l’ADEME&VOUS avec un dossier sur le numérique.

A lire dans le dossier « le numérique : fléau ou aubaine ? » :

  • Transition écologique : le numérique face au défi de la sobriété ;
  • Zoom sur : SAV et réparation : les pouvoirs de l’intelligence artificielle ;
  • Regards croisés : Anne le Guennec, directrice des activités recyclage et valorisation des déchets chez Veolia France – Philippe Guillouzic, chef de projet transition numérique, cellule stratégie numérique de l’ADEME ;
  • Reportage : La transition numérique en marche chez Orange.

A retrouver également dans ce numéro :

  • Décryptage : « L’ADEME anime et finance la recherche sur les sols pollués » – José Caire, directeur Villes et territoires durables de l’ADEME
  • Recherche : Transition écologique ; L’ADEME organise un premier bootcamp
  • Faits et chiffres : Énergies renouvelables et de récupération : combien ça coûte ?
  • Terrain : Déchets verts : le broyage au profit de la qualité de l’air (Corse) ; Innovation : les collectivités se mettent au management de l’énergie (Normandie) ; Qualité de l’air : Grenoble-Alpes métropole renforce sa zone à faibles émissions (AURA) ; Environnement : opération coup de balais sur vos déchets dangereux (Bretagne)
  • Portrait : Inès Leonarduzzi, fondatrice de l’ONG Digital for the planet : « C’est mon téléphone portable qui se débarrasse de moi, et non l’inverse »
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